LA MAISON côté
LOUNGE
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Offrez-vous un moment de douceur, de sérénité
Quelque soit votre besoin
Un soin ou un simple accompagnement
Quelqu'en soit la durée
D'une heure, un jour ou plus
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Savourez,
Nous prenons soin de vous !
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L'océan, le silence, le vent salé
la douceur de vivre
le soleil, la pluie
un feu de cheminée
un jardin privé
de belles attentions
pour de jolies intentions...
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Être
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S'éveiller à Soi - Retrouvez le sens de votre vie
Entre l'océan et les landes du Finistère, LA MAISON à Plomeur, se situe à 5 km de la magnifique et immense plage de sable blanc de la Torche.
Inspirante et vibrante, elle vous apportera une grande sérénité, le temps d'une pause en soi.
Une éloge à votre beauté intérieure insoupçonnée.
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Il vous est possible de...
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Vous éveiller aux présences subtiles, se connecter à la nature
Être guidée, apprendre à entreprendre et à réaliser, en toute autonomie.
L'harmonie d'être celui ou celle que vous ressentez, de vous sentir vibrer, de révéler votre vérité intérieure.
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S'apaiser pour entendre les messages du corps.
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Laissez les vestiges du passé se dissoudre pour permettre à l'instant présent de jaillir en sa Conscience.
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Se libérer des croyances, des conditionnements, des peurs et des carcans émotionnels,
Apprivoiser le mental et en faire l'un des artisans de sa Paix Intérieure.
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Se connecter à l'immatériel et incarner le changement auquel chacun(e) aspire...
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BAINS DE FORÊT, BAINS DE JOUVENCE
La question peut paraître saugrenue, voire décalée mais mérite d’être posée.
Le Shinrin-Yoku, littéralement « bain de forêt », est né au Japon dans les années 80. Il s’agit de se promener en forêt, de marcher lentement, seul, et en silence. Rien de plus. Et ce petit rien constitue aujourd’hui une pierre angulaire de la politique de médecine préventive au Japon. Là-bas, le Shinrin-Yoku a un véritable statut. De quoi s’y intéresser.
C’est l’Agence des forêts japonaise qui a la première introduite le terme Shinrin-Yoku. L’idée était d’inciter les japonais à se promener en forêt et à éveiller les sens aux nombreuses interactions que le milieu forestier offre. L’Agence reconnaissait cette pratique comme une véritable hygiène de vie, mais aucune étude scientifique sérieuse pouvant justifier le sentiment de calme et de bien-être ressentis par cette pratique, n’avait encore été publiée.
Au milieu des années 90, les premières études scientifiques sur les effets physiologiques de la pratique du Shinrin-Yoku sont publiées. Il est ainsi révélé que des sujets passant 40 min en forêt deux fois par jour voient leur tension artérielle baisser de même que leur taux de cortisol (dit hormone du stress) salivaire. Ce fut la première fois que l’effet déstressant du Shinrin-Yoku était mesuré.
D’autres études sont venues compléter les recherches par la suite. On peut citer la diminution du taux de glucose dans le sang chez des diabétiques, l’augmentation de l’activité des cellules tueuses naturelles (effet « anti-cancer ») et du taux d’immunoglobuline A, G et M dans le sang. Les effets psychologiques bénéfiques de la pratique du Shinrin-Yoku ont également été révélés.
A été également étudiée l’influence des environnements forestiers sur nos sens. En comparant les études sur le terrain et les études en laboratoire, les chercheurs japonais ont pu démontrer que nos systèmes sensoriels sont influencés par les informations reçues de façon visuelle, auditive, olfactive et même tactile. Or, les plantes produisent des substances appelées Phytoncides que nous captons par l’odorat et qui ont des impacts sur certains indicateurs. Ainsi, l’odeur dégagée par les Cèdres du Japon (Cryptomeria japonica) a pour effet de faire baisser la pression sanguine systolique et ce dès 40 à 60 secondes après l’inhalation.
Alors, allez prendre votre bain !https://blog.filab.fr/2017/12/bains-de-foret-bains-de-jouvence/
Cet article a été écrit parJérôme GOUX
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Le Shinrin-yoku, la thérapie immersive (et préventive) dans la forêt
Originaire du Japon, le Shinrin-yoku est une thérapie préventive qui consiste à puiser de l’énergie provenant de la nature et plus particulièrement des arbres.
Courir (ou marcher) dans les forêts d'or et de lumière, afin de se ressourcer auprès des arbres ? C’est le principe même du Shinrin-yoku, littéralement “bain de forêt” : une thérapie préventive et immersive, qui mêle apaisement et retour aux sources.
Shinrin-Yoku : l’appel de la forêt
Cette pratique est originaire du Japon : au début des années 80, l’Agence des Forêts japonaise a voulu inciter la population à se promener dans les bois afin d’éveiller ses sens et se reconnecter avec la nature. Une pratique nommée alors Shinrin-yoku et qui aurait des vertus thérapeutiques (sans pour autant qu’aucune étude scientifique sérieuse ne puisse les étayer).
Ce n’est que dix ans plus tard, au milieu des années 90 que des scientifiques décident de se pencher sur le sujet et d’ainsi mesurer les effets physiologiques de la pratique du Shinrin-Yoku. En 1995, deux scientifiques japonais - Miyazaki et Motohashi - ont observé que les personnes qui passaient 40 min en forêt le matin et l’après-midi, avaient une meilleure tension, étaient également moins sujets à la dépression ou à l’anxiété. De même, les adeptes du Shinrin-Yoku étaient globalement moins fatigués.
Shinrin-Yoku ou le pouvoir des arbres
Par la suite, d’autres études sont venues compléter ces recherches. Ainsi, on a pu observer par exemple une diminution du taux de glucose dans le sang de diabétiques* ayant pratiqué des séances de Shinrin-Yoku.
Mais cette thérapie immersive dans les bois n’a pas que des effets physiologiques : en effet, en 2007, le professeur Morita et son équipe ont mené des expériences afin de quantifier les effets psychologiques de la pratique du Shinrin-Yoku. En analysant l’humeur de 498 sujets qui s’étaient promenés dans la forêt les 4 jours précédents, les scientifiques ont pu observer “un meilleur sentiment de vivacité et une baisse de l’hostilité et de l’état dépressif” chez ces personnes.
Sans compter l’impact sur le développement des sens : d’autres experts ont mis en lumière le fait “que nos systèmes sensoriels sont influencés par les informations reçues de façon visuelle, auditive, olfactive et même tactile”. Ainsi, le simple fait de côtoyer des arbres de manière régulière, permet d'affiner ses cinq sens. Ces mêmes sens qui ont également une influence directe sur l’organisme : par exemple, “l’odeur dégagée par les Cèdres du Japon a pour effet de faire baisser la pression sanguine systolique”.
Shinrin-Yoku : une detox digitale et sonore
Dernier bénéfice d’une séance de Shinrin-Yoku ? La déconnexion avec le monde. Une ballade en forêt, c’est avant tout, un moment privilégié pour apaiser son esprit et faire le vide. « S’immerger régulièrement dans un environnement naturel peut contribuer à réduire significativement le stress et les symptômes de troubles de l’attention, tout en renforçant le système immunitaire et en augmentant le niveau d’énergie », écrit ainsi Jean-Patrick Toussaint, expert et contributeur pour la fondation David Suzuki.
Comment pratiquer le Shinrin-Yoku ? Rien de plus simple ! Il suffit de s’immerger dans un environnement forestier (ou dans un grand parc) en se délestant au préalable de tout appareil électronique (ni smartphone, ni appareil photo, ni gps). Un moyen de se reconnecter avec la nature, et notre besoin d'air pur.
Lire aussi
Garden Therapy : les pouvoirs anti-stress du jardinage
*Recherche menée en 1998 sur un panel de 87 diabétiques, sur une durée de 6 ans, par des experts de l’université de médecine d’Hokkaido.
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LA FORÊT, MERVEILLEUX ANTISTRESS ET SOURCE D’INSPIRATION
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Elles sont aussi relaxantes, reposantes, déstressantes et inspirantes, aussi place au lyrisme! Voici la ballade de la balade en forêt;)
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la sylvothérapie. Fondée sur les bienfaits des espaces boisés, elle nous invite à nous immerger dans la forêt pour mieux nous ressourcer.
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Back to the trees !
La sylvothérapie (du latin silva, "forêt") n’est pas une méthode née de la dernière pluie. Ce type de cure en forêt était déjà pratiqué au XIXe siècle pour traiter les maladies respiratoires.
Encore utilisée au début du XXe siècle, cette méthode revient au goût du jour. Non seulement elle est très populaire au Japon, où il est courant de prendre des "bains de forêt", mais certaines régions boisées de France comme les Vosges s’y mettent aussi !
Le bon air des forêts
Plusieurs études scientifiques le confirment : la forêt nous fait du bien ! Ce sont plus précisément l’air qu’on y respire et les végétaux qu’on y trouve qui aident à lutter contre le stress et les virus.
Les promenades en forêt fortifient le système respiratoire et la fonction cardiaque. Elles font baisser le niveau de cortisol (hormone du stress) dans le sang et diminuent la tension artérielle.
Plusieurs raisons expliquent l’efficacité de la sylvothérapie. D’une part, les forêts comptent parmi les espaces les moins pollués. D’autre part, l’air qu’on y respire est enrichi en oxygène puisque 1 ha d’arbres en produit entre 6 et 20 tonnes par an.
Sous l’effet des UV du soleil, une partie de cet oxygène est converti en ozone aux propriétés désinfectantes. De plus, les arbres pour se défendre des maladies sécrètent naturellement des molécules antibiotiques que l’on retrouve dans l’atmosphère.
Les résineux comme les épicéas et les sapins sont riches en composés aromatiques volatils aux propriétés antiseptiques et décongestionnantes pour les voies respiratoires. Les huiles essentielles qui en sont extraites sont parmi les plus efficaces pour soigner les maux de l’hiver.
Comment en profiter ?
Se balader en forêt et respirer à pleins poumons est une façon simple de :
• s’immerger dans un environnement apaisant
• profiter de l’air sain et vivifiant des lieux
• respirer la bonne odeur des pins, naturellement riches en huiles essentielles
L’offre de séjours de sylvothérapie commence à se développer en France, notamment dans le département des Vosges. Le Conseil général y a créé trois labels sous le nom Forê l'effet Vosges :
• une gamme de produits alimentaires issus de la forêt
• une gamme d’hébergements
• une gamme de produits cosmétiques déjà disponibles dans quatre stations thermales (Contrexéville, Vittel, Bains-les-bains et Plombières).
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Bain de forêt, bain de jouvence
Les japonais ont depuis longtemps perçu les vertus de la balade dans les bois et en ont fait une activité, le “bain de forêt” (quel joli terme) le Shinrin-Yoku, qui, d’après le site Psychomédia, “amène à porter attention à la fraîcheur de l’air, aux couleurs et aux sons. Il constitue une forme de méditation qui consiste à être présent à l’environnement. En l’absence de la sur-stimulation liée à l’environnement urbain, la relaxation s’installe.”
Pour prendre un bain de forêt, il suffit de ne rien faire d’autre que d’être attentif à ce se passe en nous et autour de nous, cependant il y a d’autres manières de vivre l’expérience d’un promenade en forêt. L’esprit peut y vagabonder sans but, bercé par le bruissement des arbres et le chant des oiseaux et se laisser aller à la rêverie ou en savourer l’esthétique pour engranger autant de vitamines mentales.
Les escapades sylvestres loin d’une société devenue psychotoxique à force de sollicitations sont pleines de bienfaits qui méritent d’être détaillés.
Les bienfaits des balades en forêt
D’après l’IUFRO (International Union of Forest Research Organizations), passer un moment en forêt a des effets bienfaisants sur la santé physique et mentale bien éloignés de la peur que les bois pouvaient susciter à des périodes moins civilisées où ils étaient peuplés de créatures pas toujours bienveillantes.
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Diminution du stress
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Diminution de la colère, de l’anxiété et de l’agressivité
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Amélioration de l’humeur, de l’état émotionnel
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Augmentation du sentiment de bien-être
Les balades en forêt contribuent aussi au renforcement du système immunitaire en “augmentant l’activité et le nombre des cellules naturelles tueuses qui détruisent les cellules cancéreuses”. Et la liste de leurs vertus ne s’arrêtent pas là:
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Diminution du rythme cardiaque et la pression artérielle, comme le rapporte Futura-sciences
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Amélioration des fonctions cognitives, selon une étude menée par trois chercheurs de l’université du Michigan
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Renforcement de la créativité selon cet article de Pour la science
“Penser, c’est chercher des clairières dans une forêt”, disait Jules Renard. Peut-être qu’inversement, tomber par enchantement sur des clairières inattendues, c’est penser san s’en rendre compte;)
En bref, promenons-nous dans les bois, développons nos propres cures sylvatiques, c’est une mini croisade simple et pas chère contre tout un tas d’affections dont on se passerait bien, sans avoir besoin d’un Merlin ou un Gandalf de poche prêt à jeter un sort à nos pulsions agressives ou à nos vacuités intellectuelles;)
A chacun son bain de forêt
Si la promenade associe les bienfaits de la marche à ceux du contact avec la nature, passer un moment dans les bois est bénéfique sous bien des formes. Car la forêt est aussi un le lieu mystérieux de tous les possibles, endroit rêvé pour pratiquer en famille ou entre amis à des activités qui développent imagination, créativité et connaissances, renforcent les liens affectifs et font passer un bien meilleur moment que d’aller traîner dans un magasin-suédois-qu’est-ouvert-le-dimanche. Car on y engrange des tombereaux de vitamines mentales.
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Construire des cabanes
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Inventer des jeux de rôles
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Apprendre à lire une carte et trouver un itinéraire
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Découvrir la faune et la flore
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Ramasser des champignons etc.
Les activités n’y manquent pas et pour ma part, si j’y rêvasse beaucoup, il m’arrive aussi d’y rencontrer biches et écureuils, d’y chercher des champignons, d’y trouver les arbres remarquables, les vestiges de camps romains et les bornes armoriées, de photographier les plaques des routes aux noms si surprenants. Je me souviens aussi d’une veille de Toussaint, une nuit “sorcier(e)s contre vampires” grandeur nature, dans une forêt près de chez moi, un régal de sensations fortes pour les plus trouillards, une bonne rigolade pour tout le monde! Aussi, après tout, n’hésitez pas à vous procurer une imitation d’Excalibur, si c’est pour le bien de vos escapades sylvestres.
Personnellement, j’ai un besoin viscéral de la forêt, son contact me donne un sentiment de complétude et me met de bonne humeur: je m’y émerveille de tout, j’y réfléchis sans m’en rendre compte, j’en reviens avec mille idées. Même si à la nuit tombante, il m’arrive parfois de la voir plus version Blair Witch que forêt enchantée. Et vous?
Métaphore sylvestre
Et pour finir, symbole de la quête initiatique, la forêt est l’endroit où l’on se perd de l’autre côté du miroir pour mieux se retrouver, comme le montre cet article de Télérama, car elle “dérouille le psychisme des égarés. Elle passionne moins les botanistes que les psychanalystes, car elle est la métaphore de notre désordre intérieur, de ces noirceurs enfouies qu’il faut affronter pour comprendre qui l’on est, que l’on s’appelle Yvain, Lancelot, Bilbo (le Hobbit) ou Harry (Potter). « Depuis les temps les plus reculés, la forêt pratiquement impénétrable où nous nous perdons symbolise le monde obscur, caché, pratiquement impénétrable de notre inconscient », résume Bruno Bettelheim.”
Source d’inspiration, de respiration et de rencontre avec soi-même, mais toujours lieu de passage, voilà les raisons pour lesquelles j’ai fait de la forêt ma propre métaphore des itinéraires tortueux de la reconversion professionnelle;) Voir:
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A votre convenance, nous vous recevons dans notre cabinet sur
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Où que vous soyez, notre accompagnement vous est aussi proposé par téléphone et skype.